Nous sommes en vacances… mais votre patrimoine, lui, ne doit jamais l’être
Chers adhérents,
Après une année supplémentaire à vos côtés, à répondre à vos questions, vous accompagner dans vos projets locatifs, vous alerter sur les risques et vous proposer les meilleures solutions pour sécuriser vos biens nous prenons quelques semaines de repos bien mérité.
Notre équipe sera de retour dès le 18 août, plus disponible et déterminée que jamais pour continuer à vous protéger.
Mais pendant notre absence, une réalité demeure : vos logements continuent d’exister, d’être exposés, d’évoluer.
Et parmi les périodes les plus critiques pour un propriétaire… figure une situation souvent sous-estimée : la vacance locative.
Après une année supplémentaire à vos côtés, à répondre à vos questions, vous accompagner dans vos projets locatifs, vous alerter sur les risques et vous proposer les meilleures solutions pour sécuriser vos biens nous prenons quelques semaines de repos bien mérité.
Notre équipe sera de retour dès le 18 août, plus disponible et déterminée que jamais pour continuer à vous protéger.
Mais pendant notre absence, une réalité demeure : vos logements continuent d’exister, d’être exposés, d’évoluer.
Et parmi les périodes les plus critiques pour un propriétaire… figure une situation souvent sous-estimée : la vacance locative.
Votre bien est vide ? Il n’est pas à l’abri pour autant.
Un logement vide semble, à première vue, inoffensif. Pas de locataire, pas de problème ? Faux.
La vacance locative correspond à la période durant laquelle un bien immobilier est inoccupé entre deux locataires. Elle peut durer quelques jours, plusieurs semaines ou même plusieurs mois, et résulte de situations très courantes :
Il est même parfois plus vulnérable vide que lorsqu’il est occupé.
Et surtout, en cas de sinistre, vous êtes seul responsable.
La vacance locative correspond à la période durant laquelle un bien immobilier est inoccupé entre deux locataires. Elle peut durer quelques jours, plusieurs semaines ou même plusieurs mois, et résulte de situations très courantes :
- Départ d’un locataire sans successeur immédiat,
- Travaux de rafraîchissement ou de rénovation,
- Attente d’une signature de bail repoussée,
- Mise en pause d’une location saisonnière en basse saison,
- Changement de stratégie locative…
Il est même parfois plus vulnérable vide que lorsqu’il est occupé.
Et surtout, en cas de sinistre, vous êtes seul responsable.
Les vrais risques de la vacance locative (et leurs conséquences)
Voici ce que nous voyons, trop souvent, dans les dossiers que nous traitons :
Et pourtant, le propriétaire reste redevable de tout.
- Un dégât des eaux en provenance d’un logement voisin, non détecté pendant plusieurs jours, avec des dégâts considérables à l’intérieur.
- Un incendie ou une explosion dans une cave, un local ou un tableau électrique, avec propagation aux biens vacants.
- Des squats ou intrusions, parfois sans effraction, mais aux conséquences juridiques lourdes.
- Un sinistre sur les parties communes (chute de tuiles, fuite toiture, court-circuit…) où le bien vacant se retrouve impliqué dans la chaîne de responsabilité.
- Un défaut d’assurance, constaté au moment où l’expert intervient, rendant les réparations 100% à la charge du propriétaire.
Et pourtant, le propriétaire reste redevable de tout.
Le cas de M. Lefèvre : vacance locative non-couverte = facture salée
À l’été dernier, Monsieur Lefèvre, propriétaire d’un appartement à Rennes, a vu son locataire quitter les lieux en “cloche de bois” c’est-à-dire sans préavis, sans état des lieux, sans fermeture correcte des arrivées d’eau.
Le logement est donc resté vide pendant plusieurs semaines, sans surveillance ni assurance PNO active.
Et ce qui devait être une simple période de remise en location s’est transformé en cauchemar.
En son absence, un robinet mal fermé a lentement provoqué un dégât des eaux.
L’eau a stagné, puis commencé à s’infiltrer dans l’appartement du dessous.
C’est le voisin d’en bas qui, alerté par des traces d’humidité sur son plafond, a prévenu le syndic… et donc M. Lefèvre.
Mais le mal était fait : parquet abîmé, murs à refaire, mobilier gonflé.
Et surtout, aucune assurance en cours ne pouvait prendre en charge le sinistre.
Résultat : plusieurs milliers d’euros de travaux, perte de temps dans la remise en location, loyers non perçus… et beaucoup de stress.
Le logement est donc resté vide pendant plusieurs semaines, sans surveillance ni assurance PNO active.
Et ce qui devait être une simple période de remise en location s’est transformé en cauchemar.
En son absence, un robinet mal fermé a lentement provoqué un dégât des eaux.
L’eau a stagné, puis commencé à s’infiltrer dans l’appartement du dessous.
C’est le voisin d’en bas qui, alerté par des traces d’humidité sur son plafond, a prévenu le syndic… et donc M. Lefèvre.
Mais le mal était fait : parquet abîmé, murs à refaire, mobilier gonflé.
Et surtout, aucune assurance en cours ne pouvait prendre en charge le sinistre.
Résultat : plusieurs milliers d’euros de travaux, perte de temps dans la remise en location, loyers non perçus… et beaucoup de stress.
« Je pensais qu’un logement vide n’avait pas besoin d’assurance… je ne referai plus jamais cette erreur. »
Le cas de Mme Martin : “heureusement que j’étais bien couverte !”
Mme Martin, elle, a vécu une situation très proche… mais avec une issue bien différente.
Propriétaire d’un studio meublé à Bordeaux, elle avait anticipé le départ de son locataire en juillet.
Ayant souscrit notre contrat PNO, sa couverture est restée active pendant la vacance locative, sans interruption.
Quelques jours après le départ du locataire, une infiltration d’eau provenant des parties communes abîme un pan de mur et endommage le revêtement de sol.
Grâce à son contrat :
Propriétaire d’un studio meublé à Bordeaux, elle avait anticipé le départ de son locataire en juillet.
Ayant souscrit notre contrat PNO, sa couverture est restée active pendant la vacance locative, sans interruption.
Quelques jours après le départ du locataire, une infiltration d’eau provenant des parties communes abîme un pan de mur et endommage le revêtement de sol.
Grâce à son contrat :
- Le sinistre est détecté et traité rapidement,
- Les travaux sont intégralement pris en charge,
- Et surtout : les loyers non perçus pendant la durée des travaux lui sont remboursés, au titre de la garantie perte de loyers.
« Heureusement que le Club m’avait bien conseillée. Je me suis sentie protégée, même en l’absence de locataire. »
La PNO : une assurance essentielle, même sans locataire
Beaucoup de propriétaires croient que la PNO (Propriétaire Non Occupant) est optionnelle.
Or, elle est obligatoire pour tout bien en copropriété, et vivement conseillée même pour les maisons individuelles.
Contrairement à l’assurance habitation classique (souscrite par le locataire) ou à la GLI (assurance contre les impayés), la PNO protège votre responsabilité personnelle en tant que propriétaire, et prend le relai lorsque le logement est vide.
Elle couvre notamment :
En clair : la PNO protège le bien. Point.
Or, elle est obligatoire pour tout bien en copropriété, et vivement conseillée même pour les maisons individuelles.
Contrairement à l’assurance habitation classique (souscrite par le locataire) ou à la GLI (assurance contre les impayés), la PNO protège votre responsabilité personnelle en tant que propriétaire, et prend le relai lorsque le logement est vide.
Elle couvre notamment :
- Dégâts des eaux, incendie, explosion,
- Responsabilité civile du propriétaire,
- Événements climatiques, vandalisme, bris de glace, etc.
- Troubles causés aux voisins ou à l’immeuble.
En clair : la PNO protège le bien. Point.
Notre contrat PNO : une protection complète, même sans locataire
Pour faire face aux imprévus, même pendant la vacance locative, le Club des Propriétaires vous propose une assurance Propriétaire Non Occupant (PNO) en partenariat avec AREAS Assurances.
Ce contrat est conçu spécifiquement pour les bailleurs individuels, et couvre de façon efficace les situations où :
Les garanties essentielles incluses
Les plafonds de prise en charge
Ce contrat est conçu spécifiquement pour les bailleurs individuels, et couvre de façon efficace les situations où :
- Le bien est vacant entre deux locations,
- Le contrat du locataire est insuffisant ou inexistant,
- Le contrat de la copropriété ne couvre pas certains dommages.
Les garanties essentielles incluses
- Responsabilité civile du propriétaire : en cas de dommage causé à un tiers (voisin, parties communes…).
- Incendie, explosion, foudre
- Dégât des eaux et gel, y compris recherche de fuite (prise en charge jusqu’à 3 500 €).
- Événements climatiques, comme la grêle, tempêtes, inondations…
- Vol et vandalisme
- Bris de glaces
- Catastrophes naturelles et technologiques
- Attentats, actes de terrorisme
- Défense et recours du propriétaire
- Frais supplémentaires :
- Jusqu’à 15 % d’indemnité pour les frais consécutifs,
- Remboursement jusqu’à 1 an de loyers non perçus si le logement est inhabitable après sinistre.
Les plafonds de prise en charge
- Responsabilité civile : jusqu’à 6 000 000 € par an,
- Dommages immatériels consécutifs : 200 000 €,
- Atteinte à l’environnement : 400 000 €,
- Perte de loyers : jusqu’à 1 an, sans franchise.
Que pouvez-vous faire aujourd’hui, même pendant notre absence ?
Avant notre retour, voici quelques réflexes simples à adopter :
Et si vous êtes déjà adhérent au club, vous bénéficiez d’un accompagnement prioritaire et d’un audit sur mesure à la rentrée.
- Rassemblez vos documents : attestation d’assurance PNO, diagnostic de performance énergétique, date du dernier bail.
- Vérifiez si votre contrat couvre la vacance : toutes les PNO ne se valent pas, certaines excluent les périodes prolongées.
- Notez vos questions : lors de notre retour, nous pourrons faire un point complet ensemble.
Et si vous êtes déjà adhérent au club, vous bénéficiez d’un accompagnement prioritaire et d’un audit sur mesure à la rentrée.
Faites le test : êtes-vous bien protégé ?
Vous êtes concerné si :
Envoyez-nous vos documents dès maintenant : nous reviendrons vers vous dès notre retour.
- Mon logement est en copropriété
- Il est (ou a été) vide entre deux locataires
- Je ne suis pas certain·e de ce que couvre mon contrat PNO
- J’ai uniquement une assurance habitation ou une GLI
- Mon dernier sinistre m’a coûté personnellement
Envoyez-nous vos documents dès maintenant : nous reviendrons vers vous dès notre retour.
En attendant notre retour… restez serein
Notre standard est fermé, nos boîtes mail moins actives… mais notre mission de protection continue.
Et les bons réflexes commencent maintenant.
Vous pouvez déjà nous transmettre vos documents à l’adresse habituelle :
lea@leclubdesproprietaires.com
Nous les traiterons en priorité à notre retour.
Nous vous souhaitons un très bel été, et vous remercions encore pour la confiance que vous nous accordez.
À très bientôt,
L’équipe du Club des Propriétaires
Et les bons réflexes commencent maintenant.
Vous pouvez déjà nous transmettre vos documents à l’adresse habituelle :
lea@leclubdesproprietaires.com
Nous les traiterons en priorité à notre retour.
Nous vous souhaitons un très bel été, et vous remercions encore pour la confiance que vous nous accordez.
À très bientôt,
L’équipe du Club des Propriétaires